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mardi 15 mars 2011

S.O.S. Japon 2011... Fukushima !

Du 26 février au 9 mars 2013. Pour marquer le triste anniversaire de la catastrophe, la Maison de la Culture du Japon accueille une exposition gratuite, ouverte au public : " 2 ans après : en marche vers la reconstruction ", réunissant des photos de presse qui nous montre comment l’archipel tente de se relever de ce terrible épisode.

Passée par Bangkok (Thaïlande), Jakarta (Indonésie) et Séoul (Corée du Sud), l’expo s’arrête donc à Paris pour deux semaines, et accueillera le 1er mars à 14h30 une cérémonie officielle en présence de l’ambassadeur du Japon et de Tomoaki Ito, premier journaliste à avoir couvert la catastrophe sur le terrain.
Décliné en quatre thèmes, l’évènement nous remémore les images de ce pays meurtri, au lendemain du séisme.
Passé le temps de la commémoration, la volonté de reconstruire, de retrouver une vie "normale" reprend le dessus. Les musiciens rejouent, les enfants réapprennent à s’amuser. De superbes clichés (émanant du quotidien japonais Asahi Shimbun) illustrant la résilience d’un peuple qui, malgré la répétition de ces séismes toujours menaçants.


Horaires :
Du mardi au samedi 12h–19h. 
Nocturne le jeudi jusqu’à 20h. 
Fermé dimanche et lundi.

Lieu : 
Maison de la Culture du Japon
101, bis quai Branly 
75015 Paris

Métro : Bir-Hakeim / RER C Champs de Mars - Tour Eiffel

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Un immense élan de solidarité internationale...


勇 気 ! Courage !


7 mars 2012 : Japon, un an d'actions...


Japon, un an après 
  
" Tirons les enseignements de cette tragédie ". 





Témoignage de Tadateru Konoé, président de la  Croix-Rouge japnaise :

" De mémoire d’homme, c’est la première fois qu’une nation est confrontée à une catastrophe de cette ampleur : un séisme d’une force inégalée, suivi d’un tsunami et d’un accident nucléaire ".


Tadateru Konoé le président de la Croix-Rouge japonaise sur les lieux du Tsunami Dans les heures qui ont suivi la catastrophe, la Croix-Rouge française a lancé un appel à dons afin de soutenir financièrement la Croix-Rouge japonaise. 

En près de cinquante ans d’engagement humanitaire, j’ai été confronté à de nombreuses catastrophes naturelles de grande ampleur mais celle-ci est l’une des plus terribles. Les destructions m’ont rappelé Hiroshima, Nagasaki…
Une vision défiant l’imagination. Ce qui est arrivé le 11 mars 2011 est sans précédent dans l’histoire de notre planète.

Le Japon a longtemps été considéré comme l’un des pays les mieux préparés à une catastrophe naturelle, et il l’est sur bien des aspects, du fait de son histoire et de sa situation géographique.
Depuis leur plus jeune âge, les Japonais apprennent à l’école les gestes essentiels pour se protéger en cas de secousse sismique. Cela fait partie de leur éducation.
Cette préparation a d’ailleurs permis de sauver des centaines de milliers de vies et de répondre dans les meilleurs délais aux besoins des sinistrés.
En revanche, nul n’était préparé à un accident nucléaire et le drame de Fukushima a révélé à quel point nous étions exposés à ce danger et incapables de faire face à un scénario de ce type ; scénario qui pourtant pourrait se reproduire demain au Japon comme ailleurs. Fukushima doit servir d’appel à la conscience collective !

La Croix-Rouge japonaise a ainsi proposé la tenue d’une conférence internationale en mai prochain à laquelle participeront toutes les Sociétés nationales de notre Mouvement concernées par cette question. Je suis fier de cette initiative qui constitue un véritable enjeu pour notre Mouvement et pour une société plus sûre.

Au nom des victimes japonaises, nous devons tirer les enseignements de l’immense catastrophe qui nous a frappés. Les Japonais ont fait montre d’un courage et d’un stoïcisme remarquables dans cette épreuve, mais la souffrance se lit aujourd’hui encore sur les visages. Plus de 20 000 vies ont été brisées, des familles décimées, déracinées, devant abandonner leurs biens et leur vie passée.
Hormis l’aide matérielle et financière qui leur a été apportée, le soutien psychosocial reste primordial aujourd’hui.
Nous le savons bien, dans toute catastrophe humanitaire, le plus difficile est de reconstruire les hommes.



Tadateru Konoé, président de la Croix-Rouge japonaise
 
Tadateru Konoé, président de la Croix-Rouge japonaise

Je tiens d’ailleurs à adresser toute ma reconnaissance aux volontaires de la Croix-Rouge japonaise pour leur mobilisation exceptionnelle et le travail accompli au cours de ces douze derniers mois. Je veux également remercier à nouveau toutes les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge – et à travers elles les entreprises, fondations et particuliers – pour leur soutien financier. C’est grâce à cette solidarité internationale que nous avons pu agir vite et de façon efficace et que nous pouvons poursuivre sur la voie de la reconstruction. Celle-ci prendra hélas des années encore.


 Une mobilisation exceptionnelle : merci !

Dans les heures qui ont suivi la catastrophe, la Croix-Rouge française a lancé un appel à dons afin de soutenir financièrement la Croix-Rouge japonaise. Un élan de solidarité a animé les particuliers comme les entreprises... Nous tenons à vous remercier tous.

Le grand public a manifesté sa mobilisation dès les premiers instants : de nombreuses personnes ont organisé des collectes de dons pour soutenir les victimes de la catastrophe ou ont directement fait un don auprès de la Croix-Rouge française.
Près de 4 millions d’euros ont ainsi été collectés (soit 23,5 % du total des dons), dont 77 % sur notre site Internet.
Une mobilisation qui s’est également exprimée à travers les nombreux messages de soutien laissés sur notre page Facebook. Un grand merci pour ces témoignages de solidarité !

Cette grande solidarité envers le peuple japonais a aussi animé le tissu économique français. Elle a été portée autant par de nombreuses entreprises françaises que par les filiales des entreprises japonaises présentes dans notre pays.
Elles sont près de 200 à s’être mobilisées et à avoir, pour certaines, sollicité leurs collaborateurs, et multiplié les initiatives pour apporter leur soutien aux sinistrés japonais.

Sur les 16.421.714 euros collectés par la Croix-Rouge française, 12.736.044 euros proviennent des entreprises, soit 76,5 % de la totalité des fonds recueillis.
Nous tenons ici à les remercier vivement pour leur grande générosité, et à travers la Croix-Rouge française la Croix-Rouge japonaise.


 Domo arrigato


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Vendredi 11 mars 2011, à 14h26 heure locale (6h46 heure légale française).
À la suite d'un tsunami généré par un séisme de magnitude 9.0 sur l'échelle de Richter, survenu au large de Sendaï, sur la côte nord-est de l'île de Honshū (Japon), la centrale nucléaire de Fukushima est entrée dans l’Histoire comme l'exemple de la fragilité de la construction humaine, décrite et pourtant garantie par les pouvoirs publics comme d'une fiabilité à toute épreuve. 
Au-delà de l'affliction face aux 15 689 morts et 4 744 disparus dus au tsunami lui-même,
Vague du tsunami à Miyako
il nous faut nous interroger sur l'avenir et sur les perspectives de possibles autres catastrophes... aux quatre coins de la planète dès lors que les politiques nous font la démonstration de leur incurie dans la gestion de la prévention de tels risques, parfois liée à l'action néfaste des lobbyistes !
  • Des dizaines de milliers de personnes touchées dans leur chair
  • 23 600 hectares de terres arables rendues impropres à la culture 
  • 210 milliards de dollars de pertes économiques...


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  Pour en savoir plus, n'hésitez pas, envoyez un courrier électronique à Patrick Besset 


Bulletin météorologique du jour et des suivants car un écrivain averti en vaudrait deux !




Si le temps est à l'orage, emparez-vous d'un recueil de nouvelles joyeuses, vous pourrez toujours entendre les récriminations de votre compagnon ou de votre compagne qui s'époumone dans la pièce voisine sinon votre descendance qui s'étripe à l'étage.
Si la pluie mouille le jardin, lisez des bandes dessinées, des recettes de cuisine ou des magazines automobiles afin de moins vous mortifier...
Si une éclaircie pointe à l'horizon, saisissez le bouquin abandonné l'avant-veille pour vous installer confortablement devant la vitre du salon.
Si le soleil perce au travers des nuages, prenez un des titres que je vous recommande et jetez dans les cendres de la cheminée une mèche de vos cheveux pour conjurer le mauvais sort... mais de grâce, lisez, lisez encore, lisez toujours.

Il n'y a pas que le sexe ou le travail dans la vie, pas plus qu'il n'y aurait que des bons ou des méchants autour de vous...


livres audio gratuits

Playing for Change : un succès planétaire !

Playing for Change est un projet musical multimédia qui met en scène des musiciens des quatre coins du monde pour diffuser un message de paix. En mars 2005, Mark Johnson, ingénieur du son et réalisateur, filme le guitariste et chanteur Roger Ridley dans les rues de Los Angeles, interprétant Stand by me. Il décide alors d'ajouter à cette même chanson d'autres musiciens dont Grandpa Elliot à la Nouvelle-Orleans avec sa voix chaude, en superposant leur interprétation à celle de Roger Ridley.

Il part alors avec son équipe à Barcelone, où il enregistre notamment Clarence Bekker sur Stand by me avant de partir pour l'Afrique du Sud, l'Inde, le Népal, le Proche Orient afin d'enrichir Stand by me et d'autres chansons créées sur ce même concept. La vidéo officielle de Stand By Me compte aujourd'hui plus de 39 millions de visites sur Youtube et Dailymotion (actualisé en 2012).

Stand by Me (Reste près de moi) est une chanson interprétée par Ben E. King alias Benjamin Earl Nelson (1938-2015), composée et écrite en 1961 par lui-même avec Jerry Leiber (1933-2011) et Mike Stoller (1933- ..).

La Fondation Playing for Change est une organisation à but non lucratif destinée au développement d'écoles de musiques à travers le monde. En 2008, une première école de musique est créée par la Fondation à Guglethu, (Ntonga Music School), dans la banlieue de Cape Town, en Afrique du Sud. En 2010 deux écoles de musiques construites et ouvertes: L'École de Musique et de Dance Bizung, à Tamalé (Ghana), L'École de Musique de Kirina (Mali). La Fondation Playing for Change développe des programmes éducatifs au Népal à Tintale (Katmandu) et au Rwanda (Intore Cultural Center) en collaboration avec d'autres organisations.
La formation musicale " The Playing For Change Band " sera en tournée à travers le monde dès février 2012. On y retrouvera Mohammed Alidu (percussions - Nord du Ghana), Clarence Bekker (voix - Pays-Bas/Surinam), Grandpas Elliot (voix/harmonica - Nouvelle-Orléans), Mermans Kenkosenki (voix/percussions - République Démocratique du Congo), Jason Tamba (guitariste - Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo) et Titi Tsira (voix - Gugulethu, township du Cap-Occidental, Afrique du Sud).

D'autres chansons sont rassemblées sur un cd/dvd produit en collaboration avec Concord Records, sorti en avril 2009 aux États-Unis. En 2010, un deuxième album sort, Playing for Change Live, qui réunit des artistes du monde entier sur scène. En 2011, un troisième album sort, "PFC 2: Songs Around The World".

Le documentaire "Playing for change : Peace trough music", (83 min) réalisé par Mark Johnson et Jonathan Walls est un voyage musical sur quatre continents qui relate la réalisation de ces chansons autour du monde, nous mène à la rencontre de musiciens de divers horizons, évoquant la réalité dans laquelle ils vivent et contemplant le pouvoir de la musique en tant que vecteur universel de paix. Le film est d'abord présenté en 2008 dans une version inachevée au Festival du Film de TriBeCa, à New York, avant d'être diffusé dans une version courte (57min), en été 2009 sur le "Public Broadcasting Service" (PBS) - réseau de télévision public à but non lucratif avec 354 stations de télévision membres aux États-Unis qui le détiennent en propriété collective. La version finale (83 min) est sortie aux États-Unis en octobre 2009 aux États-Unis en DVD en septembre 2009.


Pour vous, selon les circonstances, écrire correspond à...



. une vraie corvée qui vous pourrit la vie ? Vive le dictaphone, le téléphone sans fil et votre webcam...


. une étape obligatoire dont vous vous accommodez pour rédiger un rapport, demander une augmentation de salaire, vous plaindre d'un commerçant malhonnête ou dénoncer un voisin trop bruyant ?


. une activité archaïque, de la nostalgie au charme suranné qui vous ramène au temps de votre enfance, à l'époque des pleins et des déliés, du porte-plume, des plumes Sergent-Major et du bonnet d'âne ?


. un simple plaisir qui vous rend heureux, en maniant le verbe et la langue, afin de faire de belles phrases pour offrir de beaux voyages imaginaires à vos correspondants coincés dans la routine du quotidien ?


. une véritable drogue, vous êtes graphomane ? Pas un jour, pas une heure sans une ligne dans votre journal, sur l'écran d'un de vos ordinateurs, sur une feuille blanche, sur une page de carnet, dans la marge du journal parcouru en buvant votre café noir.


. une religion païenne ? Tous les jours, vous remerciez le ciel d'avoir permis aux sumériens des temps Anciens de vous léguer une si belle invention.

... dîtes-moi donc à quoi correspond, pour vous, le temps passé à écrire ?

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Merci Jacquie !


Jacquie Lawson e-cards

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Enfin libre ? Plus de temps libre pour pouvoir écrire, presque zen. Vive l'Euro Millions !




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