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samedi 20 septembre 2008

Les avez-vous déjà lus ?
Monique Ruffié de Saint-Blancat et Jorge Medina Vidal… un millésime de 1987.



Transparences *
 
* Article publié le 29 août 1989 dans « Le Journal de Toulouse ».

Monique Ruffié de Saint-Blancat est française, Jorge Medina Vidal est uruguayen… Il est un des plus grands poètes d’Amérique Latine, elle est professeur d’anglais, maîtrise l’espagnol et est publiée en Urugay. En 1987, elle est en poste à l’Alliance Française de Montevideo… Elle y rencontrera le poète et aura l’idée d’un recueil à plumes croisées… Je m’explique : l’un et l’autre écriront des poèmes dits « originaux » qui seront publiés dans leur langue maternelle respectives puis œuvreront en traduisant chacun les vers de l’autre, ce qui donnera ces transparences imprimées en regard.
Ainsi les deux poètes ont-ils voulu donner au traducteur, confiné bien trop souvent dans le rôle ingrat de faire-valoir, la place qui est la sienne, celle du passeur. En effet, que serait le bac chargé des plus beaux trésors sans celui qui connaît tous les pièges du fleuve ? Assurément une coque de noix en perdition pour les gens de l’autre rive. Ici, la traduction-même est créative car les sonnets – deux quatrains, deux tercets – n’ont pas la même charpente en espagnol et en français. Aussi, que de jongleries n’a-t-il pas fallu à nos deux poètes acrobates pour donner toute la richesse à leurs poèmes courtois. En effet, comme Ronsard hier, ils exaltent l’Amour dans toute sa noblesse et sa mélancolie. Atilio Buriano, célèbre maître graphiste, a illustré ces poèmes avec une maestria remarquable. Le trait est magique et souligne l’onirisme des mots. Reflets-miroirs et angéliques visages… sacré trio ! Ce recueil, on le doit aux éditions toulousaines Eché. Claude Couffon, le traducteur de Gabriel Garcia Marquez, ne s’y est pas trompé, il a aimé…
Le retour d'Anaconda
Chez elle à Toulouse, Monique, toute virevoltante, a de la passion plein les yeux et le sourire aux lèvres, entièrement à ses chers écrivains de langue espagnole. Actuellement occupée à traduire méticuleusement un conte de Horacio Quiroga : « Le retour d’Anaconda », elle cherche par ailleurs un éditeur pour publier la traduction d’un conte pour enfants de Carlos Rodriguez Pintos : « Carocito de Luz voulut tuer le vent » magnifiquement illustré par des dessins originaux d’Amalia Nieto, elle-même. Cette année, Monique a participé avec quelques bonheurs au Festival de Mougins du Poète et de l’Expression. En plus, elle écrit un roman… Mais chut ! Un, deux, trois… nous irons au bois. Quatre, cinq, six… cueillir des cerises ! Patrick Besset
« Transparences » par Monique Ruffié de Saint-Blancat et Jorge Medina Vidal, illustré par Atilio Buriano aux Editions Eché – 79 francs.



Amoureuse du tango, Monique Ruffié, aujourd'hui professeur honoraire, occupe une grande partie de son temps à une longue quête biographique concernant Carlos Gardel.

Elle est co-autrice, avec l'argentin Juan Carlos Esteban et l'alsacien Georges Galopa, d'un livre en langue espagnole : « Carlos Gardel : sus antecedentes franceses » aux éditions Corregidor (Argentine), qui a connu un franc succès en Amérique du Sud.




Il vient de paraître la version française : « Carlos Gardel : ses antécédents français », éditions Corregidor (Buenos Aires). En librairie : 25 €.

Par ailleurs, Monique Ruffié écrit toujours des sonnets et autres poèmes qui lui ont déjà valu de fort belles récompenses - dont le prestigieux « Prix du  Jasmin d'Argent », en 2003 pour un magnifique sonnet, genre poétique particulièrement exigeant. Bientôt une reconnaissance glorieuse, j'en suis certain... 
Depuis 1921, la société littéraire du Jasmin d'Argent organise tous les deux ans, avec le concours de la ville d'Agen, ce prix qui glorifie la poésie en langues française, occitane et catalane.


Le 23 juin 2010, elle publiait en espagnol à Buenos Aires (Argentine), toujours chez Corregidor, son dernier livre : « Carlos Gardel : controversia y punto final »,  afin de commémorer le 75ème anniversaire de la mort de Carlos Gardel, décédé à Medellín (Colombie) dans un tragique accident d’avions (sur le tarmac de l’aéroport).
Le but de cet ouvrage : rendre à Charles Romuald Gardés (alias « Carlos Gardel »), ses véritables racines françaises, toulousaines plus précisément, en voulant mettre un point final aux affabulations uruguayennes. 






Le 30 août 2010, elle et ses co-auteurs présentaient ce livre à la presse en Argentine, au Palacio Legislativo de la Ciudad Autónoma de Buenos Aires.



De gauche à droite : Juan Carlos Esteban, Monique Ruffié, Oscar Moscariello (Premier vice-président, en charge de la Présidence), Georges Galopa, Enrique Espina Rawson ( Président du « Centro de Estudios Gardelianos »). Photo : Marcelo Cuelli.


Actualités : 11 septembre 2012...





Monique Ruffié publie chez Proa Amerian Editores, à la rentrée d'automne, en Argentine, son quatrième ouvrage en langue espagnole sur le légendaire Carlos Gardel : « El Padre de Gardel », écrit à plumes croisées avec ses deux complices, Georges le Français et Juan Carlos l'Argentin.  Elle s'envole prochainement pour Buenos Aires pour y célébrer l'évènement... qui fait déjà un tollé avec ses révélations sur l'identité du père : il était bel et bien Français, tout comme sa mère, au grand dam des Uruguayens au patriotisme exacerbé.






Le 28 juin 2013 : Hôtel de Ville de Toulouse, Salle des Illustres - Le Marathon des Mots.
Un vrai marathon depuis Buenos Aires pour Maria Kodama, écrivain, traductrice et professeure argentine, veuve du célèbre écrivain argentin Jorge Luis Borges, venue à l'invitation de la Ville Rose pour recevoir l'hommage rendu à son époux : « Gens de Buenos Aires ».  
Maria Kodama entourée de Monique Ruffié et Michèle Griscelli pour l'association Philémon.
Monique Ruffié rentrait justement de Buenos Aires où elle défendit ses divers livres, résultats d'enquêtes approfondies et révélatrices sur les origines de Carlos Gardel...

Octobre 2014.

Dans ses livres, Monique Ruffié articule assez souvent poésie et autobiographie. « La Part de l’ombre » s’inscrit précisément dans cette démarche puisque nous y sont livrées, sous la forme exigeante du sonnet (sauf pour le dernier poème, composé d’une suite de quatrains), nombre de réflexions et d’expériences flirtant fréquemment avec l’intime. L’essentiel est ici, on le voit, l’existence de l’être, avec ses composantes les plus fondamentales, depuis la vie fœtale jusqu'à la mort et même, au-delà, avec les rites funéraires. Entre l’évocation du passé, par le truchement de souvenirs, et celle d’un futur en projets, les relations familiales ourdissent aussi la trame d’un tissu culturel et artistique que l’auteur explore, en toute liberté, à l’aune de sa création poétique. 







« La Part de l’ombre » de Monique Ruffié. 
Les Éditions du Net. 14 €
ISBN : 978-2-312-02539-1.

http://patrickbesset.blogspot.fr


 

  Pour en savoir plus, n'hésitez pas, envoyez un courrier électronique à Patrick Besset 

Bulletin météorologique du jour et des suivants car un écrivain averti en vaudrait deux !




Si le temps est à l'orage, emparez-vous d'un recueil de nouvelles joyeuses, vous pourrez toujours entendre les récriminations de votre compagnon ou de votre compagne qui s'époumone dans la pièce voisine sinon votre descendance qui s'étripe à l'étage.
Si la pluie mouille le jardin, lisez des bandes dessinées, des recettes de cuisine ou des magazines automobiles afin de moins vous mortifier...
Si une éclaircie pointe à l'horizon, saisissez le bouquin abandonné l'avant-veille pour vous installer confortablement devant la vitre du salon.
Si le soleil perce au travers des nuages, prenez un des titres que je vous recommande et jetez dans les cendres de la cheminée une mèche de vos cheveux pour conjurer le mauvais sort... mais de grâce, lisez, lisez encore, lisez toujours.

Il n'y a pas que le sexe ou le travail dans la vie, pas plus qu'il n'y aurait que des bons ou des méchants autour de vous...


livres audio gratuits

Playing for Change : un succès planétaire !

Playing for Change est un projet musical multimédia qui met en scène des musiciens des quatre coins du monde pour diffuser un message de paix. En mars 2005, Mark Johnson, ingénieur du son et réalisateur, filme le guitariste et chanteur Roger Ridley dans les rues de Los Angeles, interprétant Stand by me. Il décide alors d'ajouter à cette même chanson d'autres musiciens dont Grandpa Elliot à la Nouvelle-Orleans avec sa voix chaude, en superposant leur interprétation à celle de Roger Ridley.

Il part alors avec son équipe à Barcelone, où il enregistre notamment Clarence Bekker sur Stand by me avant de partir pour l'Afrique du Sud, l'Inde, le Népal, le Proche Orient afin d'enrichir Stand by me et d'autres chansons créées sur ce même concept. La vidéo officielle de Stand By Me compte aujourd'hui plus de 39 millions de visites sur Youtube et Dailymotion (actualisé en 2012).

Stand by Me (Reste près de moi) est une chanson interprétée par Ben E. King alias Benjamin Earl Nelson (1938-2015), composée et écrite en 1961 par lui-même avec Jerry Leiber (1933-2011) et Mike Stoller (1933- ..).

La Fondation Playing for Change est une organisation à but non lucratif destinée au développement d'écoles de musiques à travers le monde. En 2008, une première école de musique est créée par la Fondation à Guglethu, (Ntonga Music School), dans la banlieue de Cape Town, en Afrique du Sud. En 2010 deux écoles de musiques construites et ouvertes: L'École de Musique et de Dance Bizung, à Tamalé (Ghana), L'École de Musique de Kirina (Mali). La Fondation Playing for Change développe des programmes éducatifs au Népal à Tintale (Katmandu) et au Rwanda (Intore Cultural Center) en collaboration avec d'autres organisations.
La formation musicale " The Playing For Change Band " sera en tournée à travers le monde dès février 2012. On y retrouvera Mohammed Alidu (percussions - Nord du Ghana), Clarence Bekker (voix - Pays-Bas/Surinam), Grandpas Elliot (voix/harmonica - Nouvelle-Orléans), Mermans Kenkosenki (voix/percussions - République Démocratique du Congo), Jason Tamba (guitariste - Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo) et Titi Tsira (voix - Gugulethu, township du Cap-Occidental, Afrique du Sud).

D'autres chansons sont rassemblées sur un cd/dvd produit en collaboration avec Concord Records, sorti en avril 2009 aux États-Unis. En 2010, un deuxième album sort, Playing for Change Live, qui réunit des artistes du monde entier sur scène. En 2011, un troisième album sort, "PFC 2: Songs Around The World".

Le documentaire "Playing for change : Peace trough music", (83 min) réalisé par Mark Johnson et Jonathan Walls est un voyage musical sur quatre continents qui relate la réalisation de ces chansons autour du monde, nous mène à la rencontre de musiciens de divers horizons, évoquant la réalité dans laquelle ils vivent et contemplant le pouvoir de la musique en tant que vecteur universel de paix. Le film est d'abord présenté en 2008 dans une version inachevée au Festival du Film de TriBeCa, à New York, avant d'être diffusé dans une version courte (57min), en été 2009 sur le "Public Broadcasting Service" (PBS) - réseau de télévision public à but non lucratif avec 354 stations de télévision membres aux États-Unis qui le détiennent en propriété collective. La version finale (83 min) est sortie aux États-Unis en octobre 2009 aux États-Unis en DVD en septembre 2009.


Pour vous, selon les circonstances, écrire correspond à...



. une vraie corvée qui vous pourrit la vie ? Vive le dictaphone, le téléphone sans fil et votre webcam...


. une étape obligatoire dont vous vous accommodez pour rédiger un rapport, demander une augmentation de salaire, vous plaindre d'un commerçant malhonnête ou dénoncer un voisin trop bruyant ?


. une activité archaïque, de la nostalgie au charme suranné qui vous ramène au temps de votre enfance, à l'époque des pleins et des déliés, du porte-plume, des plumes Sergent-Major et du bonnet d'âne ?


. un simple plaisir qui vous rend heureux, en maniant le verbe et la langue, afin de faire de belles phrases pour offrir de beaux voyages imaginaires à vos correspondants coincés dans la routine du quotidien ?


. une véritable drogue, vous êtes graphomane ? Pas un jour, pas une heure sans une ligne dans votre journal, sur l'écran d'un de vos ordinateurs, sur une feuille blanche, sur une page de carnet, dans la marge du journal parcouru en buvant votre café noir.


. une religion païenne ? Tous les jours, vous remerciez le ciel d'avoir permis aux sumériens des temps Anciens de vous léguer une si belle invention.

... dîtes-moi donc à quoi correspond, pour vous, le temps passé à écrire ?

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Merci Jacquie !


Jacquie Lawson e-cards

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Enfin libre ? Plus de temps libre pour pouvoir écrire, presque zen. Vive l'Euro Millions !




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